Rassemblement [Suite ]

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Après ce combat, durant lequel Manu en avait surpris plus d'un à garder son calme, ses regard et expression ayant parlé pour lui, il prit un malin plaisir à rabrouer littéralement Zash sur le fait que ses attaques étaient très déplaisantes pour le groupe. Il lui signala aussi de faire abstaction de ses instincts (remarqué le comble) en combat et utiliser ses neurones. En effet, Manu aussi était différent en combat, plus posé et calme, savourant chacune des secondes de la bataille comme un aliment, un jus, un plaisir de tuer.

Il avait assomé volontairement, au lieu de le tuer, un des miliciens, il comptait bien l'interroger, Lena semblait avoir fait de même, p-e en apprendrait-il plus. Pour l'heure, il suivit Zash jusqu'à une salle d'interrogatoire, le laissant parler de comment utiliser le matériel ici. Une fois tout branché, dans un baillement significatif, Manu pris le corps assomé de sa pauvre vicitme et s'en alla dans une autre pièce, plus sombre et humide, plus propice à leur entretien...

Manu se démerda pour trouver une corde, une chaise et un couteau. Une fois le milicien ligoté, il ferma la porte... Ainsi prenait par l'interrogatoire....
En premier, il sorti son gun, tirant une balle dans le genou de sa victime, histoire de la réveiller.
" Bien, te voila conscient "
Il commença à examiner le couteau qu'il venait de trouver, sans prêter attention au milicien...
" Alors, tu vas gentillement parler et me dire ce que tu sais, histoire que ta mort soit plus douce "
Il venait de lui susurer gentillement cela à l'oreille, l'air amusé, se délectant de cet instant.
Il le fixa, tristement, l'air tellement désolé, et Dieu seul sait (si il existe) combien Manu pouvait, à son grés, prendre quelqu'expression que ce soit.
" Je ne voudrais pas te faire de mal, tu es, malheureusement tombé sur un des Enfants d'une exprience considérée comme ratée... Le matricule 69 te rappelerait-il quelque chose ?
Pourquoi étiez vous ici ? Qui vous envoie ? Quelle était ton ordre précis de mission"
Chacun de ses mots étaient découpés, précis, calme... Il était volontairement dans un coin de lumière... Attendant la réponse de sa victime, si elle coopérait rapidement, elle mourrait plus vite...

Nombre de messages : 209 Age : 122 Date d'inscription : 26/04/2006

Le milicien tordu de douleur se tortillait sur sa chaise. une balle dans le genoux, quoi qu'il fasse, il ne s'en sortirait pas... Alors autant protéger sa mission.

"Creve sale bâtard râté !" et à ces mots, il cracha dans le visage de Manu, espérant ainsi qu'il l'achèverait plus vite.

Manu regarda fixement l'homme, d'un regard pénétrant et dans la tête du pauvre type, la voix de Manu retentit :

"Puisque tu le prends comme ça, amusons-nous !" la voix se répétait avec un écho interminable, dans la tête du milicien qui commençait déjà à regretter son geste !

Il ne s’attendait pas à cela, mais après tout c’était mieux ainsi, il allait pouvoir s’amuser… Les mots du milicien lui allèrent droit au cœur (aussi petit et dur soit-il). Cet homme souffrirait bientôt tellement qu’il parlerait, il se le jurait ! C’est à cet instant précis que, fixant l’homme, ce qu’il pensait lui fut transmit, au grand étonnement de Manu… Il était donc télépathe, bien sur, pas question de montrer son étonnement au milicien…
Il resta à le fixer 10 bonnes minutes, laissant la peur s’installer dans sa victime, profitant du temps qui était avec lui. Ce que ces 10 min devraient paraître longue au milicien, le sang coulant de sa plaie, dans son esprit il avait le temps de s’imaginer mille morts. Manu, lui, le fixait droit dans les yeux, son regard azurs troublant, menaçant, comme un aigle repérant sa proie.
Dans la tête du milicien, après ce temps :
« Tu n’es toujours pas décidé à parler ? Je n’aime pas me répéter »
Il leva alors le couteau… Parlant à haute voix
« Ce regard de fort, ne te va pas… »
Manu approcha alors le couteau doucement du visage de l’homme, venant s’asseoir à califourchon sur les jambes du malheureux, profitant de bien mettre tout son poids sur la jambe déjà blessée du milicien. Il fixa le couteau sur la gorge de sa victime, la peau venant à perler d’une lueur pourpre, le jeu avait commencé. Pauvre milicien, il était ligoté tellement fort qu’un moindre geste pouvait lui sectionner la peau, p-e était-ce déjà entrain de se produire, cadet des soucis de son bourreau. Chacun des gestes de Manu était fait au ralenti, il avait tout son temps.
Le couteau remonta ensuite, effleurant d’une simple griffe la peau du milicien qui, si il comptait bouger recevrait dans son esprit un beau :
« Chut, reste calme, délecte toi de ce moment intense, l’adrénaline de ton corps qui te fait vibrer, profite »Une fois sur la joue, la lame se fixa, commençant à tourner, traçant un léger sillon sur la peau déjà meurtrie, se couvrant du liquide rougeoyant.
« Belle couleur » s’amusa-il à dire, son regard plongé ensuite dans les yeux du milicien. Chacun de ses gestes étaient au ralenti, cette lame acérée remontant la joue du malheureux, tout au contraire de Manu qui semblait revivre à agir de la sorte.
La lame arriva à l’œil du milicien, s’arrêtant un instant sur ses paupières, glissant doucement d’un bout à l’autre….
« Parleras tu enfin ? »
Et à ce moment là, quelque soit la réponse ou non, la lame fit son office : tranchant la paupière du malheureux comme une vulgaire feuille de papier, Manu avait pris soin d’enlever son haut afin qu’aucune tache de sang ne viennent salir ses vêtements.
Une fois fait, le morceau de chair ensanglanté tomba devant le malheureux, jusque sur ses jambes… Manu lui, semblait au comble de la joie, non, il n’était pas à son premier interrogatoire, ses contacts aimait à lui demander d’exercer cette tâche, chacun de ses gestes étaient précis, comme répétés des dizaine de fois, sans jamais se lasser.
« Voyons si tu seras plus coriace que les autres » Cette voix sadique et ironique qui résonna dans la tête du milicien. A peine l’écho avait-il pris fin, qu’une vive douleur aigue, la lame du couteau avait troqué sa fonction tranchante pour une option perçante… Dans un délectable bruit, Manu venait d’enfoncer le coutelas dans l’œil de son interlocuteur, s’amusant à la tourner la lame dans l’orifice, afin que le plaisir ne s’estompe pas facilement…
« Je continue ? C’est si bien parti… »
Au fond de lui, il espérait une résistance du milicien, afin de pouvoir continuer son petit jeu, bien que, qu’il parle ou non il était bien décidé à se lâcher, ceci n’était qu’un aperçu.

Nombre de messages : 209 Age : 122 Date d'inscription : 26/04/2006

Alors que sa paupière lui était otée, le milicien n'eut d'autre choix de faire ce qui est convenu lors d'un interrogatoire sans sortie. La molaire creuse dont chaque miicien était "équipé" lors de leur entrée dans la milice fut, par une forte morsure brisée, et le Cyanur qu'elle contenait coula sur la langue de ce dernier. Il avala sa salivae alors que Manu lui transperça l'oeil et il ne lui fallut pas 20 seconde pour que la vie l'abadonne, emportant avec lui les informations dont il était possesseur.
Anisi Manu se trouvait maintenant a califourchon sur un cadavre encore chaud... triste fin !

Lena, le milicient ficelé solidement en face d'elle, le contemplait, le regard de glace, les lèvres légèrement retroussées sur ses dents, comme un animal près à découvrir les crocs et mordre. Elle s'assit en face de lui tranquillement, ses yeux n'exprimaient rien de ce qu'elle pouvait bien ressentir face à l'homme terrifié qui semblait soudain très pâle.

"Alors dis moi... pourquoi êtes vous venus, toi et tes petits camarades nous chercher dans cette tour qui pourtant semble désafectée et surtout inhabitée. Seraient-ce certaines personnes venant d'un certain "Jardin d'enfants" qui vous l'auraient demandé?"

Lena parlait calmement, articulant chaque mot pour que le milicient comprenne ce qu'elle voulait savoir mais aussi qu'il entende la menace omniprésente qui planait au fond de sa voix.

Elle se leva attendant qu'il réponde et fouilla dans ses vêtements à la recherche d'indices sur ses ordres de mission ou d'un portefeuille où elle pourrait y trouver des renseignements sur sa famille ou le lieu où il habitait. Elle savait pertinement qu'elle ne pourrait rien faire si il avait décidé de ne pas parler mais elle avait conscience aussi des faiblesses gisant au coeur de chaque être humain, à savoir qu'ils étaient incapables de livrer leur famille à un bourreau. Si elle lui trouvait des proches cet homme parlerait. Tout en le fouillant, elle observait son regard terrifié et lui fit un sourire très carnassier en glissant sa main sous sa veste pour y chercher une quelconque poche intérieure.

Alors qu'il s'apprêtait à percer l'oeil du malheureux, un léger bruit retentit, comme si quelque chose venait d'être percé... Là, Manu compris qu'il était trop tard. Comment n'y avait-il pas pensé ? Avait-il sous estimé son adversaire? Il termina son oeuvre calmement, son regard devenant de plus en plus sombre…
Le corps était encore chaud, son sang également, et il terminait de couler aux différentes plaies commises auparavant. Il saisit alors la tête du malheureux, il avait du souffrir, mais pas assez à son goût, ce n’est rien, il se vengerait, même sur ce corps inerte…

Il ne se rendait pas encore compte de la situation, il se releva alors, giflant presque au point de le décapiter le corps… Pas de réaction… Son regard s’agrandit, sombre et profondément vexé…

Ce qui se passa ensuite dans cette pièce ? Nul ne pourrait le savoir, seul un hurlement profond, de rage raisonna de cette pièce du 1e sous-sol. Seul Zash pourrait l’entendre, ce cri déchiré, horreur sans fin, son provenant des abysses des entrailles de ce fou. Cela n’annonçait rien de bon.

Zash evnait d'enterndre le cri de Manu, ce n'était qu'une légère plainte d'ici, mais il y avait tou de même deux étages blindés entre eux. Il se demanda s'il ne s'était rien passé de grave. Sans doute que non, Manu devait encore être torturé de l'intérieur, malheureux, espérons que son pouvoir psychique grandissant l'aide à se contenir... Mais il ne fallait pas trop rêver, le chemin était encore long, et le fait qu'il n'ai pas la possibilité d'éviter la violence quotidienne ne ferrait que ralentir le prossesus.

Il Jeta donc le deuxième cadavre dénudé dans le bain d'acide qu'il avait découvert plus tôt dans ses recherches... Il monta par l'ascenseur et arriva à l'étage où était Manu. Cet idiot n'avait pas voulu filmer l'entrevue, il était donc certain qu'il ne verrait rien de ce qui s'est vraiment passé.

Il entra dans la pièce où le triste tableau se dressait, après quelques secondes, il demanda à Manu :

"Tout se passe comme tu veux ?"

Il s'attendait déjà à recevoir une rafale de paroles abjectes de la part de Manu, comme il allait devoir s'y habituer, mais il ne lui en voudrait pas...

En arrivant dans le couloir, une odeur, semblable à du sang semblait se diffuser, venant de la pièce mi sombre.
Lorsqu’il ouvrit la porte, traversant l’entrebâillement, Zash fut accueillit par quelques gouttes coulant du chambranle, le sang était froid, coagulé, visqueux. L’adolescent ne pouvait y échapper. En relevant les yeux, il vit qu’en fait, la substance recouvrait toute la pièce : peignant les murs de sa couleur pourpre, honorant le lieu de cette odeur nauséabonde et prenante, l’assombrissant d’une lueur diffuse de chair décomposée… Car, si Zash fesait un tour de la pièce du regard, avec effroi il constaterait partout la peau du milicien, déchiquetée lancée avec violence et, dans un coin, un tas…
Un amoncellement de chairs fraîches : il pourrait y reconnaître des poumons, immenses, empourprés, hachés, laminés violement. Sous les pas de Zash, quelque chose le stoppant, sous son pied, une sensation d’écraser, piétiner ? En y regardant de plus prêt c’était un long cylindre brunâtres, saccadé par endroit de coup de lames d’où une substance brune en sortait… Une fine pellicule blanchâtre semblait recouvrir cette chose… Il pourrait reconnaître des intestins gisant sur le sol dans un liquide rougeoyant.
Dans un autre coin, une forme se dessinait, une sphère ellipsoïdale au sommet recouvert d’un tas noir, un contraste. Sur la sphère, deux globes, un manche sortant de l’un d’eux. Au milieu de la face visible, un morceau de chair pendouillant, s’accrochant comme il le peut par un bout de peau au reste de… Ce visage ? Une tête décapitée gisant dans un coin, la mâchoire arrachée sauvagement, traînant à côté. Les yeux avaient été enlevés, un couteau planté dans l’un des globes oculaires, le nez déchiqueté qui tenait sait-on comment.
Et, derrière, oui, derrière cette tête, un tas immonde de trips, panse ou autres organes internes d’un corps humain. Tout avait été haché, déchiqueté, une boucherie s’était déroulée dans cette petite pièce.
Un bruit alors fit sursauter Zash, juste après qu’il ait posé sa question. Il était là, dos à lui, agenouillé devant, semblerait-il un objet en bois à quatre pieds, le responsable de tout. A la fin de la question, il se releva, le dos nu ensanglanté du liquide qui n’était pas même sien.
D’un coup il se tourna, l’élémental sonore pu voir : ce corps mi nu sur lequel aucune partie de peau n’était restée visible, recouverte de sang ; ses cheveux de jais en bataille, mélange sang et de sueur ; son visage ne valait pas plus cher si ce n’est son regard azur, sombre, ténébreux, fou, donnait une impression d’abysses profonde d’horreur à qui osait les croiser. Mais ? Qu’avait-il en bouche ?
Pas le temps de voir qu’il recracha : un morceau de chair, deux sphères reliées entre elle par un fin tissu de chair, deux billes de tailles moyennes d’où un liquide blanchâtres semblait couler de différences plaies, morsures faites…
Si le regard de Zash se portait ensuite vers Manu, il verrait ce sourire carnassier, il ne savait presque plus fermer la bouche, tant le mélange de sang et viande crue lui semblait délectable, son sourire pointu dévoilait ses dents d’où aucun morceau d’émail ne paraissait visible, tant le liquide pourpre coulait de sa bouche…
Tout cela, à nouveau Manu le recracha, un morceau de chair parmi d’autre venait de rejoindre le sol, ainsi qu’une impressionnante quantité de sang. Sa poitrine nue et musclée était en proie à un mouvement perpétuel de respiration haletante, il était à bout de souffle.
D’un geste brusque, le revers de sa main vint essuyer cette bouche immonde, emportant elle pouvait le sang encore présent, en plus de celui qu’elle contenait déjà.
A la parole de Zash, seul un regard psychopathe fut réponse, alors que, déjà Manu prenait la direction de la sortie, ce pseudo chef de bande avait précisé avant qu’à l’étage il y avait de quoi se laver… Il comptait y aller, sans se soucier des dégâts…
Manu sorti sans demander son reste, quelque soit la réaction de Zash, le laissant seul dans cette pièce à l’odeur de chair en putréfaction déjà, vu la température.
Si, à ce moment, l’élémtal du son regard en direction de la chaise, là d’où Manu s’était relevé : il ne verra plus qu’un reste de corps, littéralement laminé sur tous les membres, éventré et vidé de ses tripes, un morceau d’intestin en dépassait encore. Le corps, du moins les quelques esquisses de membres qu’il en restait, semblait avoir été ligoté, vêtements déchirés.
Du milicien ne restait plus qu’une ébauche de corps sans tête, à la cage thoracique écartelée, l’intérieur vidé, le sang partout, son entrejambe littéralement déchiré…
Voici donc comment l’interrogatoire avait tourné, et Manu ne semblait avoir à y redire…

Alors que Manu passait la porte, Zash se retoura vers lui dans un calme olympien, c'était miracle qu'il se contienne face à cette horreur qui lui titillait les trippes... Il dit d'un air tout à fait naturel :
"Tu t'amuses, ok, mais tu viendra nettoyer ça quand tu seras propre... Ne compte pas sur les autres pour ranger ta chambre après avoir joué au train électrique...

Bon, je vais voir ce que Léna arrive a faire cracher de son pauvre gars, et essayer qu'elle fasse moins de saletés...

Au fait, tu as des infos ?"

Zash avait du mal, mais avec une très grande concentration, il parvenait à ne faire parraître aucune émotion... Dans quelle histoire allaient-ils tous se jeter. Comment allait-on pouvoir gerer un groupe si hétérolite... Croisons les doigts et prions que tout s'arrange !

Alors que Manu continuait d'avancer, sans prêter attention, du moins en apparence, aux paroles de Zash, ce dernier cru reconnaître, dans son esprit la voix de son bien aimé adorée choupinou collègue...
" Va au diable avec tes ordres, je ne suis pas un larbin, il n'aura qu'à sècher là et servir de garde mangé aux rats...
Quant à ce que j'ai appris, que la prochaine fois j'arrache les molaires une par une avant de commencer à jouer. "
Et il se dirige donc en direction de l'endroit désigné pour aller se laver et, sans demander son reste, aller se chercher de quoi manger.

Zash avait compris, il devrait tout nettoyer tout seul... "Je te garanti que nous ne serront un danger pour personne" ha! elle me fait rire cette Léna qui veut s'occuper toute seule de ce cas... Comment ne pas sortir de ses gongs avec un zinzin pareil ? Biensûr, on n'avait pas le choix, il faudrait bien qu'on finisse par s'entendre, mais, ça risquerait d'être long, et fastidieux...

"Manu, évite d'utiliser ta télépathie sans mesure, nos pouvoirs ne sont pas illimités, il peuvent nous faire défaut, mais je suis content de voir qu'au moins, tu développe bien tes capacités mentales. A cette allure, tu deviendras de plus en plus fort. Léna doit être fier de savoir ça... Je vais de ce pas la rejoindre... et voir si elle ne veut pax nettoyer avec moi, puisque tu te défiles... J'espère juste qu'elle ne va pas vômir en voyant tout ça !"

Intérieurement, Zash croise les doigts, espérons que ce subterfuge va fonctionner, et qu'il va tomber dans le panneau... Zash n'avait vraiment pas envie de nettoyer tout ça tout seul !

Décidément, Zash n'avait pas encore compris qu'il ferait mieux de se taire pour une fois, car, dans son état, Manu était capable du pire...
Et non, il ne nettoyerait pas, simple caprice et aussi le fait que cela lui soit imposé si brusquement, et en plus, par Zash !
" Lache moi la grappe et ... Va.. a.."
Fut sa seule réponse, usant de sa télépathie car il n'avait nul envie d'hurler, mais, dans ce couloir où il était, il vacilla, épuisé de tout ceci, de cette utilisation abusée de pouvoir...
Le ton de sa voix en télépathie était plus faible, preuve de sa fatigue certaine, Zash ne pouvait le nier. Il pourrait aussi entendre ce bruit caractéristique d'une personne prenant appui contre un mur, dans ce couloir...
Alors, par respect pour son futur collègue, il ne devrait pas se retourner....
A un autre moment, sans doute aurait-il été raisonnable, mais en cet instant, vallait mieux lui laisser la paix.

Ainsi, il se traîna, comme il pouvait jusqu'à l'ascenseur, il n'aurait pas la force de monter à pied.
Cela lui était venu d'un seul coup, la fatigue l'avait touché alors qu'il répondait à Zash, il n'avait pu terminer sa phrase... Oh combien un bain lui ferait plaisir, le sang avait déjà commencé à sécher sur sa peau, rendant ses mouvements difficiles. Il y avait p-e été un peu fort, mais tant pis, il l'assumait.
Après une bonne dizaine de minutes il atteignit enfin la pièce, il était temps car son corps avait du mal à lui obéir, malgré sa volonté de fer...

Citation :: "Manu, évite d'utiliser ta télépathie sans mesure, nos pouvoirs ne sont pas illimités, il peuvent nous faire défaut, mais je suis content de voir qu'au moins, tu développe bien tes capacités mentales. A cette allure, tu deviendras de plus en plus fort. Léna doit être fier de savoir ça... Je vais de ce pas la rejoindre... et voir si elle ne veut pas nettoyer avec moi, puisque tu te défiles... J'espère juste qu'elle ne va pas vomir en voyant tout ça !"

Entrant dans l'eau qui était déjà rouge, il se remémora bon nombre de fois cette phrase... Nos pouvoirs ne sont pas illimités, il le remarquait bien dans son état de fatigue actuel... Devenir de plus en plus fort, avec les dons qu'il avait il allait être invincible... Ce qui l'agaçait était le fait que Zash implique Lena, non, elle n'avait rien avoir la dedans, et, même si il refusait devant Zash, au plus profond de lui même, si Lena lui demandait il aurait du mal de refuser... Rhaa quelle faiblesse !! Mais il ferait avec... Avec... "ZZZzzz" là, totalement épuisé il s'endormi dans son bain, la nuque appuyée sur le rebord, les bras sur la longueur de la baignoire, ses vêtements et affaires jonchant le sol à côté, il était épuisé...

Nombre de messages : 209 Age : 122 Date d'inscription : 26/04/2006

Il fut réveillé par le son de son portable. Celui-ci était dans les vêtements qu'il avait enlevé en bas. apparemment, quelqu'un les avait montés pendant qu'il était assoupi. Il se sentait déjà mieux, et en tendant le bras pourrait répondre à cet appel.

L'eau avait refroidit, il fut réveillé en sursaut... Sortant précipitament de l'eau, nu comme un vers, sans se soucier si il y avait quelqu'un ou non...
Il décrocha
" MMHh ... Ouais ? "
Il était encore à moitié endormi et dégoulinait encore, trempé d'eau rosie par le sang, il avait fait exprès de parler peu, afin de masquer le fait qu'il venait d'être réveillé en sursaut.

Nombre de messages : 209 Age : 122 Date d'inscription : 26/04/2006

" Soit à 22.00 chez toi, on a une mission pour toi, tu trouveras tout ce dont tu as besoin dans ton appart, sur ta table. Ciao"

L'interlocuteur que tu reconnu comme ton contact de mission venait de raccrocher. Tu allais donc gagner un peu d'argent ce soir... une mission, riend e tel pour se barrer un peu de cette atmosphère...

" Mmh, ouais ouais à t' à l'heure "

Il laissa tomber le portable de tout son haut, il atterit, par chance sur ses vêtements...
Manu revint vers la baignoire quelque peu empourprée, il décida alors de la vider, nettoyant avant de faire recouler à nouveau de l'eau, se laver une seconde fois n'aurait pas été de refus. Ainsi soit-il, il s'accorderait encore une demi heure de sieste dans un bain chaud avant d'aller se chercher quelque chose à manger...

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Nombre de messages : 209 Age : 122 Date d'inscription : 26/04/2006

Le bougre avait le spoches bien remplies :

$40, un couteau a cran d'arret, une matraque électrique, un pistolet, 5 recharges "etranges" (a identifier), un ecouteur (que tu avais deja en ta possesion), un pare-balle, des bottes

Léna se trouvait mainteant face à son milicien ficellé comme un gigot. quelque peu apeuré, l'homme était malgré tout en contrôle de lui-même... si ça se trouve, il le laisserait repartir... il ne voulait pas mourir, dumoins, pas aujourd'hui, et pas comme ça !

Il priait interieurement pour qu'un miracle le sauve, mais... il était mal tombé pour ça...

"Je ne dirai... Je... Je ne dirai rien !"

Lena, après l'avoir fouillé concensieusement, se rassit en face de lui et l'observa, ses yeux de glace toujours posés sur lui. Il tremblait le pauvre, il était terrifié... en voyant ça, elle fit un sourire sadique, sa proie en face d'elle était déjà entre ses griffes, elle ne lui résisterait pas.

Lena, se leva lentement, le milicien pouvant voir dans son regard la cruauté y naitre ainsi qu'une certaine froideur, comme si ce qu'elle ferait n'aurait aucun impact sur sa conscience. Il est vrai que tuer ne lui poserait aucun problèmes. Toujours lentement, elle vint se placer derrière lui et lui murmura, la voix pleine de menaces:

"Alors... comme ça, tu ne veux pas parler, tu es sur que tu ne veux pas me dire qui vous a envoyé?"

Elle polie distraitement la griffe située sur la combinaison mais de façon à ce que le milicient le voit.

Nombre de messages : 209 Age : 122 Date d'inscription : 26/04/2006

L'homme était terrifié, et ne voulait pas finir en haché menu pour minou mignon... Le Wiskas, c'était pas son projet d'avenir...

"Heu... le... je viens du... Nous avons été recruté dans des milices privées par une organisation qui s'apelle Jardin d'Enfant... mais je ne sais pas grand chose sur eux..."

Il balbutillait et n'avait pas dit ça d'une traite, la peur de mourir lui déliait la langue...

Lena, souriant d'un air sadique, lui carressa la joue avec sa griffe avec une tendresse que son regard pouvait démentir.

"Allons mon mignon, tu dois bien en savoir un peu plus, non? Comme l'endroit où ils sont basés et quels en sont les membres."

Sa voix était toujours douce et pleine de menace, à faire frémir n'importe quel individu.

Nombre de messages : 209 Age : 122 Date d'inscription : 26/04/2006

"Nous avons été 30 a être recruté le mois dernier, et j'ai entendu dire qu'il en engagerait d'autres..."

Il se lachait le petit..; a croire qu'il pensait vraiment qu'en balaçant l'info, il vivrait plus longtemps...

"Dites, je pourrai rentrer chez moi ?"

Il demanda ça d'une voix pleine d'espoir bien qu'au fond de lui, il n'y croyait pas vraiment... il avait besoin de ce mensonge pour esperer vivre plus longtemps et apaiser sa panique.

Lena n'était pas satisfaite du renseignement qu'on lui avait donné mais elle n'en laissa rien paraître. Elle continua de caresser le joue du milicien:

"Repartir chez toi?"

Lena le regarda, une surprise sincère sur le visage, toute cruauté effacée.

"Bien sur que tu vas rentrer, je ne suis pas un assassin mais il faut que tu me parles avant car si je n'obtiens pas ce que je veux savoir, je te livrerait à un autre bourreau et lui je doute qu'il soit aussi clément... Tu as entendu les cris non?
Bon, je recommense raconte moi tout ce que tu sais, mais attention si tu ne me dis pas tout, je le saurais, c'est un don que j'ai et je te livrerais à lui..."

Lena savait mentir, elle l'avait fait depuis sa tendre enfance pour survivre et ce coup de bluff était pour elle très simple à passer pour réel.

Nombre de messages : 209 Age : 122 Date d'inscription : 26/04/2006

6, 9,... Notre ami le froussard de milicien incompétent (bah oui, ils sont censé résister a la toruture et celui là, ça laisse à désirer) vient d'entendre deux longues plaintes (celle du milicien qui se prend un coup de couteau dans l'oeil suivi de manu qui vient de transformer l'autre en cuire tanné) du coup, je vous assure qu'il ne faut pas plus pour le mettre en confiance ! Il ne sait plus quelles info balancer en premières... C'est partit, sortez les callepin, on a des aveux quasi totaux là !

"Nous somme 32, engagé ce mois-ci par cette organisation, nous n'avions pas vraiment d'informations sur vous, à part des critères de reconaissances, vos yeux, le fait que vous serriez peut-être regroupés. Nous pensions que vous aviez subi de ce centre des test avec des médicament expérimentaux et que vous étiez dérangés, mais pas plus que ça...

Je constate que c'était une ruse. Nous somme la faction la plus en bas sur l'échelle d'importance qui en compte 4. Je pense que nos disparitions vont les alerter et qu'ils vont envoyer le reste des troupes. En plus, comme vous m'avez empêché de les joindre, ils sauront qu'il nous est arrivé quelque chose... - il marmone : s'il avait bien voulu nous équiper de GPS, on pourrait les voir venir me sauver... (évidemment Léna entend elle a audition accrue !)-

Je peux partir maintenant ? S'il vous plait, je ne dirai rien, je disparaîtrai... Vous n'entendrez plus jamais parler de moi..."

Ses genoux tremblaient...

Lena, enfin contente de ces réponses, s'autorisa un sourire en se replaçant fasse au milicien.

"Merci, je sais que vous n'avez pas menti et que vous m'avez tout dit, je vous en suis reconnaissante... cependant il me manque un petit renseignement... Vous avez dit..."il aurait du nous équipper de GPS", qui est ce?"

Sa voix était de nouveau menaçante, signe pour l'homme qu'elle commencait à perdre patience et ne tardrait pas à le livrer au sadique d'à côté.

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