Nobody's Children
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 Matricule 69 - Identité : Emmanuel

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Manu
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Manu


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Matricule 69 - Identité : Emmanuel Empty
MessageSujet: Matricule 69 - Identité : Emmanuel   Matricule 69 - Identité : Emmanuel EmptyVen 28 Avr - 1:29

Tout commença par…


Matricule 69 - Identité : Emmanuel 20zd

La requête fut acceptée, l’expérimentation menée : au total cinq prisonniers trouvèrent la mort, leur corps désintégré. De tous les embryons, seul 24 ont résistés et atteignirent l’âge de 8 ans.
Il fallut une année entière de préparation, une équipe mobilisée six jours semaine pour douze heures de travaux intensifs chaque journée, afin de, finalement, en arrivé au résultat escompté : un enfant en couveuse avec, au plus profond de ses gènes les chromosomes extraits des prisonniers, un sujet de violence brute.
La masse de chair qui prenait peu à peu forme humaine était enchaînée au niveau de ce qui serait, une fois l’enfant finit, ses poignets et cheville, question de sécurité.
Il fallut encore 3 mois de surveillance et l’enfant put être sorti de couveuse : nu, il avait été parfaitement contrôlé physiquement. De grands yeux bruns, des cheveux de jais, un corps fin et élancé, musclé comme il se doit sans plus. Un tatouage étrange apparu sur sa fesse droite : un serpent à trois têtes, rouge. Il fut placé au Jardin d’Enfants avec les 68 autres crées avant lui, surveillé en permanence, les scientifiques attendaient, chaque jour durant, le résultat de son comportement violent inculqué à son corps.
Ils furent assez déçus du résultat : durant deux années, trois personnes ont été chargées de le surveiller, mais rien, il agissait comme tous les autres enfants : innocent, souriant, charmant. L’expérience 69 fut donc classée sans suite au grand désespoir des laborantins ; de plus, aucun pouvoir particulier ne semblait ressortir de sa personne, bref, l’expérience fut un échec complet. Encore quelques temps d’observation pour les laboratoires, si aucun résultat ne se manifestait, le sujet 69 serait éliminé.
Huit années s’écoulèrent, l’enfant 69 grandit parmi les autres, et toujours aucun résultat malgré les situations favorisées au développement de son caractère violent : bagarres, tentations, etc. L’heure de l’exécution venait d’être décidée ainsi que le jour : neuf années d’expérimentations gâchées.
Ce matin là, le sujet 69 se vit approché par deux personnes : 68 et 105. Sans trop savoir pourquoi, on lui mit une drôle de veste blanche, ses bras attachés dans le dos, un bâillon sur la bouche, à huit ans, le petit avait peur : qu’allait-on lui faire ? Pourquoi l’a-t-on isolé des autres ? Pourquoi ne pouvait-il pas bouger ? Alors qu’il déambulait dans les couloirs blancs du laboratoire, ils arrivèrent tout trois dans une pièce étrange : l’odeur de sang y régnait en maîtresse, des armoires emplies d’outils tranchants et, au centre, une table avec quatre menottes. Ses grands yeux bruns-rouge s’écarquillèrent, on allait le torturer ? Le tuer ?
69 eut, à peine, le temps de se poser la question qu’une violente explosion retentit, les flammes venant à envahir la pièce, le sol, le bois, la veste blanche de l’enfant. Sa peau brûlée, son corps meurtri, un étrange instinct pris le dessus sur lui, pourquoi ? En un instant, sa force de petit garçon de huit ans pris le dessus sur la résistance amoindrie de la camisole : il se libéra, se roula à terre avant de s’éteindre. De leur côté 68 et 105 s’étaient enfui, espérant que le feu ait eu raison de 69.
L’instinct guidant l’enfant, il déambula dans les couloirs enfumés, son corps était étrangement résistant. Il courut vers le dortoir qu’il partageait avec 70 ; devant son dépérissement du au manque d’espace et à l’emprisonnement du Jardin d’Enfants, il lui avait promis un soir qu’il la sauverait et qu’ils fuiraient ensemble. Il la trouva endormie, affaiblit par le manque de nourriture et la secoua sans ménagement. Main dans la main, les deux enfants s’enfuirent du laboratoire, par on ne sait trop quel miracle. Mais le destin est parfois cruel, et, à peine dehors, ceux que le garçon reconnu comme 68 et 105 étaient déjà à sa poursuite. Ils courraient, les pieds nus dans la neige, les deux autres à leurs trousses, ils ne savaient où fuir mais devant le regard apeuré de 70, il sentit sa détermination monter en flèche, jamais il ne l’abandonnerait. Derrière, un cri retentit, un enfant venait d’être attrapé et c’est alors qu’il vit 70 le dépasser, la crainte d’être reprise semblait lui avoir donné des ailes, elle allait trop vite pour lui et il la perdu de vue.
Le destin se veut, une fois de plus, cruel pour ses enfants, et malgré ses recherches, jamais 69 ne put retrouver son amie. Il avait faim et soif, était bouleverser par ce qu’il avait vu et vécu, mais, par-dessus tout, il souffrait, physiquement, il pâtissait de cette chair meurtrie par les flammes. Son état attirait les regards : un enfant aux grands yeux bruns, au regard perdu, aux vêtements déchirés dévoilant sa peau brûlée, mais personne ne semblait pourtant l’aider, et jamais il retrouva 70.
Dans une ruelle déserte, il trébucha dans un creux, petit enfant de huit ans dédaigné par la vie et le destin, meurtri de ses gènes à sa peau… « Je ne veux pas mourir » dit il en murmurant, avant que ses yeux ne se ferment sur cette image de poubelle renversée, cadre qu’il cru être le dernier de sa courte vie, finalement, 68’ et 105’ n’auront pas à faire leur travail, que deviendra 70 ? Abandonnée, seule dans cette ville, cette Dark City…

Matricule 69 - Identité : Emmanuel Schildren8un

Lorsqu’il s’éveilla, il crut être au paradis, mais il faisait noir, sombre mais chaud, agréable endroit par contre fermé. Fermé ? Etrange, où était-il donc ? Il se sentait un peu à l’étroit et bien, comme dans un cocon. Un étrange bruit le fit réagir : son estomac criait famine, depuis combien de temps était-il là ? Qui était-il ? Et où ? De l’extérieur il ne voyait rien, mais la famine le fit bouger. Un mouvement du coude sembla craquer le cocon, un second alors, et voici la coquille qui le protégeait avec un morceau de moins, il ne sentait plus la douleur de ses blessures, mais cela, il l’ignorait. A l’extérieur, il faisait nuit, où était il ? Il ne pu reconnaître le bâtiment face à lui, ce lieu délabré qu’il vit avant de tomber inconscient. La misère régnait dans cet endroit qu’il découvrait. Il avait peur, il avait faim.
Il parvint à s’extraire de sa capsule de protection, encore faible et flanchant, son regard azur cette fois, se porta en premier sur cet étrange cocon : sa couleur était celle du sol auquel il semblait parfaitement intégré. Comment était il entré dans cette chose ? Quoiqu’il en soit il avait toujours faim et était complètement perdu, aucun souvenir ne lui venait à la mémoire. Il aurait tant voulu tomber là et pleurer durant des heures sa vie perdue, mais quelque chose en lui, comme de la fierté l’en empêchait. Quoiqu’il en soit, il avait faim et se mit en route.
En chemin, il fit une drôle de rencontre : une petite fille de 10 ans, aux yeux bleu marine et cheveux noirs, qui fouillait, tant bien que mal, dans une poubelle, mais trop petite elle se résigna. Un coup, comme un flash back le frappa à cet instant, il courut vers la fille ressemblant étrangement à quelqu’un qu’il avait l’impression de connaître, oui… Quelque chose lui revenait à cet instant, une douleur morale l’empêcha d’aller vite, la main sur le front, il souffrait en plus de la faim et se dirigeait vers cette fille sans trop savoir pourquoi. Une fois prêt d’elle, sa bouche s’ouvrit et les mots se prononcèrent seuls, il n’avait plus le contrôle de son conscient « 70 ? » demanda t-il en hésitant, s’approchant d’elle. La jeune fille se tourna vers lui, arquant un sourcil et observant l’apparence de ce gars totalement perdu face à elle : ses grands yeux azurs attiraient l’attention, mieux habillé et coiffé il aurait été très beau, mais pour l’instant… « Euh non, nous sommes en 2020. » elle ne savait trop quoi répondre à ce chiffre lancé comme ça, mais elle lui sourit, comme si elle avait déjà confiance en cet étranger. « Oh, euh, pardonnez-moi » il baissa le regard, déçu et surtout interloqué. Pourquoi avait-il dit cela ? Il se sentait attiré par cette fille, une personne en qui on peut avoir confiance, une amie, une complice. « Oh, je m’excuse je, euh… » Il ne savait quoi dire, enfant de 8 ans dans un corps de 10, heureusement qu’il avait toujours été précoce. La fille ne lui laissa pas le temps d’hésiter une seconde ce plus que, déjà, elle examinait son interlocuteur, l’air espiègle, sous tous les angles en tournant autour de lui : « Tu es mignon toi, tu es paumé aussi comme je vois » puis elle plongea son regard bleu marine dans le sien « Tu veux bien rester avec moi, on se démerdera dans cette ville pourrie pour s’en sortir » et termina sa phrase par un sourire radieux. 69 s’en étonna, mais, après tout pourquoi pas, elle paraissait gentille, l’attirait inconsciemment et, surtout, pourrait l’aider un peu à prendre les habitudes de cette ville « Oh, euh, d’accord alors »…
Deux années, deux années magnifiques de complicité s’en suivrent alors, la petite se nommait Helena et, vu que 69 n’avait pas de nom, elle se fit un plaisir de lui en choisir un, elle le nomma donc comme son frère qu’elle avait perdu jadis : Emmanuel. Ils étaient inséparables, enfants des rues dans une cité pauvre, volant avec ruse, mangeant avec le sourire, 69 semblait avoir trouvé là un bonheur certain sans trop se souvenir de son passé, seul une chose le marquait : 70. Helena, quant à elle, ne daigna jamais l’interroger sur son histoire, voyant uniquement le présent.
Mais, à nouveau, la destinée cruelle frappa ; en effet, comme tous les midis les deux enfants âgés alors 12 ans, s’en allaient dans une ruelle sombre, la nourriture volée à la main. Emmanuel semblait très doué pour ce genre de chose : voler faisait partie de ses instincts. Au coin de cette ruelle, là, face à eux, s’allumant une cigarette en discutant, deux hommes. L’adolescent s’arrêta net, le regard comme terrifié : une image lui revint, celle d’une sale à l’odeur de sang, d’un vêtement blanc, de flammes, de souffrances. Il tomba à genoux, la tête dans les mains, il souffrait psychiquement sans en savoir la raison, il savait au fond de lui que ces deux personnes étaient un danger, pourquoi ? L’instinct ? Si c’était lle cas, celui-ci lui ordonnait de fuir, ne plus les revoir, ne plus souffrir de ces flash back qui l’avait lâché depuis deux années. Déjà Helena s’était retournée, l’appelant « Emmanuel, bouge toi, j’ai faim moi » Il va sans dire que ses cris attirèrent l’attention des deux hommes…
« Ils étaient tous deux face à moi et, sans savoir pourquoi, une rage naquit au plus profond de moi, je voulais fuir mais mon corps voulait les tuer. Lorsque Helena, inconsciente, m’appela, j’ai su qu’il était trop tard, car, déjà, les deux hommes se sont retournés sur elle puis, sur moi. Il leur fallut un temps de réaction, ses ordures, qu’allaient-ils faire ? Qui étaient-ils ? J’ai hurlé à Helena de courir loin, de partir, de ne pas rester dans cette ruelle, mais, déjà, elle était comme paralysée. Je me suis soudain revu dans une salle de torture, je ne savais plus bouger malgré ma volonté. À compter de cet instant, je sus, au plus profond de moi, qu’il était déjà trop tard… »
Le combat ne dura que quelques instants, Helena immobilisée, terrifiée, fixant Emmanuel avec un regard d’interrogation : Il les connaissait ? Elle allait mourir ? Un premier s’avança : « Alors, 69, comment on se retrouve ? Tu n’es toujours pas mort petite enflure ? Tu te rends compte qu’on a tous gâché 9 ans de notre vie pour toi et que tu n’es même pas foutu de nous en remercier ? » Mais de quoi parlaient-ils ? Emmanuel ne comprenait plus rien, non, il voulait juste repartir avec Helena. Alors ce 69 de ses souvenirs n’était autre que, lui-même ? Au fond de lui, une petite voix lui ordonnait de combattre, de faire couler le sang de ces 2 personnes qui ne méritaient que la mort. Poing serré alors, son regard ferme et ténébreux : « Allez au diable, je ne suis pas à vous et je me contre fou de votre vie pourrie, lâchez Helena ! » Un rire éclata alors de 68 « Petit, tu n’as même pas été capable de développer cet instinct de tueur que nous t’avons généreusement confié, tu es un enfant de la mort, pour toi vivre, cinq hommes sont morts et tu me dit d’aller au diable ? Mais le diable, c’est toi 69 ! Tu es pire que les autres enfants du Jardin, sans pouvoir et terne, comme tous ces gosses pourris de la Dark City, tu as trouvé ta place ? Mais tu dois mourir comme ce jour là ! Mais avant…» A la fin de ces mots, un cri résonna : les yeux azurs d’Emmanuel se fixent alors sur l’origine : Helena venait d’être empalée par un des deux hommes, un couteau dans sa main venait de transpercer de part en part le corps de la jeune fille, du dos au ventre. Le sang coulait, elle regardait son ami, effrayée, elle ne devait plus souffrir à ce moment là, son dernier moment, l’ultime seconde de sa vie…
« A cet instant, je vis le regard d’Helena vers moi, que pouvais-je faire ? Pourquoi me poursuivaient-ils ? Pourquoi devais-je mourir absolument d’après eux ? Que m’avaient-ils fait pour se croire Dieu sur moi ? Pourquoi était-ce elle qui était morte et non moi ? Jardin d’enfants ? Comment cet homme pouvait-il faire cela ? Je ne comprenais plus rien » Sa respiration se bloqua, alors, au plus profond de lui-même, dans ses tripes, ce sentiment se réveilla : cette envie de sang, de chair, de luxure en tout genre et surtout… de mort. Le poing serré à sang, des larmes de rage naquirent sur le visage de l’adolescent : la colère, la haine et leurs nombreux frères, fils de violence le poussèrent à agir. Ce fut à ce moment là, celui de son ultime geste qu’il hurla, le premier homme tombant au sol : les mains sur les oreilles, hurlant à la mort à son tour, il semblait souffrir de l’intérieur, l’autre lui, s’enfuit difficilement. Mais, hors de cette attaque, à son tour il tomba à genoux au sol, la tête dans les mains, que se passait-il ? Toutes ces voix ? Pourquoi parlaient-elles en lui ? Serait-ce les pensées des gens qui l’assaillent toutes en même temps ? Non, il ne flancherait pas… Mais en vain il s’évanouit.
Lorsqu’il s’éveilla, il se leva, ses cheveux crasseux, en bataille, revenant dans son visage pâle et sale. Il se traîna jusqu’au corps de son amie. La soulevant, il fut baigné de son sang, traînant Helena jusqu’à un endroit de terre. Durant toute la nuit il creusa une tombe pour elle, se repassant dix, vingt, cent fois la scène et les paroles des deux hommes. Plus jamais il ne serait comme avant, cet enfant de la haine avait goûté au sang et à la mort. Dans un rayon de 300m, des cadavres gisaient le sol, tous avec la même expression : couché à terre, la tête dans les mains, sur le visage une expression d’effroi. La pluie laissait couler le sang, l’odeur en devait insoutenable, Emmanuel n’était plus pareil : un nouveau destin s’offrait à lui, il allait devenir invincible et se venger.
La matinée arriva et il était là, crasseux, trempée jusqu’aux os et tellement… différent, il n’était plus maître de ses pensées et de ses sentiments, comme si la haine était inscrite au plus profond de ses gènes. « Helena, désormais je ne serai plus le même, ces traîtres entendront parler de moi et, lorsqu’ils viendront me tuer, ce jour là, ce sera moi qui les enterrerai. Je ne suis plus Emmanuel, ni 69 » sans plus un mot alors, il parti vers le coin sud, quittant le sud ouest de la Dark City.


Matricule 69 - Identité : Emmanuel Askira020copie8rh


Dernière édition par le Sam 20 Mai - 19:41, édité 2 fois
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Manu
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Manu


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MessageSujet: Re: Matricule 69 - Identité : Emmanuel   Matricule 69 - Identité : Emmanuel EmptyMar 2 Mai - 17:01

Les cinq années se poursuivirent alors : un certain Manu intégra une milice de la Dark City, en étroite collaboration avec la mafia locale, l’on dit qu’il était très doué, subtil et, surtout, cruel. Il s’occupa, malgré son jeune âge de trafics en tout genre : drogue, enfants même de son âge, vol et l’on n’écarte pas le viol pour cet individu. Plus jamais l’on ne revit les deux hommes dans la Dark City. La mafia, par contre, venait de repérer, dans ce délinquant précoce, une personne intéressante, le parrain avait à l’œil ce garçon de 17 ans qui venait d’être découvert, mais avec méfiance car les rumeurs le disent aussi psychopathe à ses heures…
Matricule 69 - Identité : Emmanuel Persoadulte2j7su


D'un point de vue officiel :


N° : 69
Nom : Emmanuel / Manu
Pouvoir : Elemental psychique
Position de la marque des serpents bleus : la fesse droite
Description physique sommaire : des cheveux mi-longs noirs, coiffés du mieux qu'il peut avec les moyens du bord de la Dark City du sud. Il est grand d'environ 1m75, d'apparence fine et élancée. Son regard est froid et... fou.
Description psychologique sommaire : lunatique à ses heures : cruels comme aimable, sadique comme généreux...
Lieu d'habitation : le Sud
Liste des pouvoirs débloqués :
Choc spirituel
Barrière psychique I (défense)
Télépathie


Dernière édition par le Mer 17 Mai - 13:23, édité 3 fois
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MessageSujet: Re: Matricule 69 - Identité : Emmanuel   Matricule 69 - Identité : Emmanuel EmptyMar 2 Mai - 17:23

Validay Very Happy... ca c'est du post de psy...chopathe !
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Manu
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MessageSujet: Re: Matricule 69 - Identité : Emmanuel   Matricule 69 - Identité : Emmanuel EmptyMar 2 Mai - 17:24

Tu croyais quoi ? Cool
En plus ces forums sont mal fait, j'ai du mettre mon texte en deux parties lol.
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MessageSujet: Re: Matricule 69 - Identité : Emmanuel   Matricule 69 - Identité : Emmanuel Empty

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